La guerre des « Épées de Fer » a non seulement bouleversé notre quotidien, mais aussi soulevé de nouvelles questions sur le marché immobilier. Les appartements situés dans un immeuble de grande hauteur se vendent-ils vraiment à un prix plus élevé ? Y a-t-il une différence entre l'impact de la guerre sur les prix d'achat et les loyers ? Une nouvelle étude de la Banque d'Israël, publiée cette semaine, dresse un tableau complexe et surprenant.
Les chercheurs de la Banque d'Israël, Dr Yossi Yakin et Aya Talmon, ont examiné l'impact de la guerre sur la « prime pour un immeuble résidentiel », c'est-à-dire l'écart de prix entre des appartements identiques qui ne se distinguent que par la présence d'un immeuble résidentiel. L'étude s'appuyait sur :